Press
Crescendo (B) Février-mars 1999 n° 39
Jean-Marie Marchal
« L’affiche de ce coffret fait d’emblée événement, et cela à double titre. Côté interprètes tout d’abord, elle réunit une brochette de musiciens belges des plus talentueux, de la jeune génération comme de celles plus expérimentées. La chose est suffisamment rare que pour être signalée, d’autant plus que l’osmose qui règne entre les musiciens est réelle. Ainsi par exemple, la prestation pleine de verdeur des vents dans les Quatre Poèmes Hindous et les Sept Haï-Kaïs révèle une rare intuition face à la finesse du travail thématique du compositeur et de toute la symbolique du texte poétique. Véritable cheville ouvrière de cette réalisation, dont elle a assuré la direction artistique et qu’elle présente tout au long d’une notice introductive des plus consistantes, Thérèse Malengreau nous gratifie également dans les Contrerimes d’une belle prestation, pleine d’intelligence et de fraîcheur ».
Diapason (F) Décembre 1998 n° 454
Michèle Delagneau
« Cette fascination, cette présence de l’Orient ne doivent donc pas masquer ce que la musique de Delage a d’éminemment français. Ses délicates, ondoyantes et souvent surprenantes Contrerimes pour piano (1927) en fournissent la démonstration : si elles ne doivent plus rien à l’Inde ou au Japon, elles n’en sont pas moins extrêmement originales. Elles sont interprétées avec une subtilité merveilleuse par Thérèse Malengreau ».
Diapason (F) Décembre 1998 n° 454
Michèle Delagneau
« Cette fascination, cette présence de l’Orient ne doivent donc pas masquer ce que la musique de Delage a d’éminemment français. Ses délicates, ondoyantes et souvent surprenantes Contrerimes pour piano (1927) en fournissent la démonstration : si elles ne doivent plus rien à l’Inde ou au Japon, elles n’en sont pas moins extrêmement originales. Elles sont interprétées avec une subtilité merveilleuse par Thérèse Malengreau ».
Crescendo (B) Février-mars 1999 n° 39
Jean-Marie Marchal
« L’affiche de ce coffret fait d’emblée événement, et cela à double titre. Côté interprètes tout d’abord, elle réunit une brochette de musiciens belges des plus talentueux, de la jeune génération comme de celles plus expérimentées. La chose est suffisamment rare que pour être signalée, d’autant plus que l’osmose qui règne entre les musiciens est réelle. Ainsi par exemple, la prestation pleine de verdeur des vents dans les Quatre Poèmes Hindous et les Sept Haï-Kaïs révèle une rare intuition face à la finesse du travail thématique du compositeur et de toute la symbolique du texte poétique. Véritable cheville ouvrière de cette réalisation, dont elle a assuré la direction artistique et qu’elle présente tout au long d’une notice introductive des plus consistantes, Thérèse Malengreau nous gratifie également dans les Contrerimes d’une belle prestation, pleine d’intelligence et de fraîcheur ».
Diapason (F) Décembre 1998 n° 454
Michèle Delagneau
« Cette fascination, cette présence de l’Orient ne doivent donc pas masquer ce que la musique de Delage a d’éminemment français. Ses délicates, ondoyantes et souvent surprenantes Contrerimes pour piano (1927) en fournissent la démonstration : si elles ne doivent plus rien à l’Inde ou au Japon, elles n’en sont pas moins extrêmement originales. Elles sont interprétées avec une subtilité merveilleuse par Thérèse Malengreau ».
Diapason (F) Décembre 1998 n° 454
Michèle Delagneau
« Cette fascination, cette présence de l’Orient ne doivent donc pas masquer ce que la musique de Delage a d’éminemment français. Ses délicates, ondoyantes et souvent surprenantes Contrerimes pour piano (1927) en fournissent la démonstration : si elles ne doivent plus rien à l’Inde ou au Japon, elles n’en sont pas moins extrêmement originales. Elles sont interprétées avec une subtilité merveilleuse par Thérèse Malengreau ».